samedi 21 mai 2011

Alejandro Cerha

Entre rêve et cauchemar, le sable dont rêvent quelques uns, point zéro, départ d'un rêve
transformé.
Tout quitter, ruines d'une vie, tout laisser, tout abandonner.
Marcher sur de doux dessins tracés par d'étranges formes porteuses « d'étrangitude » .
Ultime intention, trop lourde à porter, se défaire de la réflexion, parier la peau pour voir.
Quitter le cocon, muter.





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